Les Nouvelles News
Newsletter gratuite S'abonner
Se connecter
Les Nouvelles News
Newsletter gratuite S'abonner
Se connecter
  • Les rubriques
    • Politique & Société
    • Eco & Social
    • Médias
      • Bruits et chuchotements
    • International
    • Culture
    • Sport
  • Les dossiers
    • Dossier Bien-être et richesse
    • Dossier Climat et environnement
    • Dossier Égalité professionnelle
      • Dossier Congé parental
    • Dossier Violences
    • Dossier Prostitution
    • DOSSIER #METOO
    • Dossier IVG
    • Dossier Femmes dans les médias
  • Nos livres
    • Journalisme de combat pour l’égalité des sexes. La plume dans la plaie du sexisme
    • Bande dessinée : les femmes sortent de leur bulle. Une histoire mixte du 9ème art
  • Nos formations
    • Formation Speak Up Déclic, Prendre la parole pour booster sa carrière
    • Manager l’égalité professionnelle
  • Soutenir LNN
    • S’abonner / faire un don (défiscalisé)
    • Voir votre compte
Les Nouvelles News
S'abonner

Les Nouvelles News
  • Les rubriques
    • Politique & Société
    • Eco & Social
    • Médias
      • Bruits et chuchotements
    • International
    • Culture
    • Sport
  • Les dossiers
    • Dossier Bien-être et richesse
    • Dossier Climat et environnement
    • Dossier Égalité professionnelle
      • Dossier Congé parental
    • Dossier Violences
    • Dossier Prostitution
    • DOSSIER #METOO
    • Dossier IVG
    • Dossier Femmes dans les médias
  • Nos livres
    • Journalisme de combat pour l’égalité des sexes. La plume dans la plaie du sexisme
    • Bande dessinée : les femmes sortent de leur bulle. Une histoire mixte du 9ème art
  • Nos formations
    • Formation Speak Up Déclic, Prendre la parole pour booster sa carrière
    • Manager l’égalité professionnelle
  • Soutenir LNN
    • S’abonner / faire un don (défiscalisé)
    • Voir votre compte
S'inscrire à la newsletter
    BuzzCulturegratuitMédiasSociétéSortir

    Le Musée National du Patriarcat rouvre ses portes !

    par Clara Authiat 31 octobre 2025
    Ecrit par Clara Authiat 31 octobre 2025
    1

    Du 31 octobre au 10 novembre, l’association En Avant Toute(s) organise une deuxième édition du Musée National du Patriarcat à Paris. Rencontre avec la marraine de l’événement, la journaliste Chloé Thibaud.

    Imaginer une société libérée de la domination masculine. C’est l’expérience proposée par l’association En Avant Toute(s) qui a créé le musée (fictif) national du patriarcat. Le but ? Sensibiliser aux violences sexistes et sexuelles. Sur deux week-ends, du 31 octobre au 10 novembre, à La Rotonde à Paris, l’association fait les choses en grand pour mettre à mâle le patriarcat : un stream de 48h rassemblant plus de 30 streameuses, du stand-up avec des humoristes engagé.e.s, des drag shows ainsi que des enregistrements de podcasts. Un événement qui rassemble artistes et militant.e.s pour remettre de la joie au cœur de la lutte.

    Lire : En avant toute(s)… au musée national du patriarcat

    Voir cette publication sur Instagram

    Une publication partagée par En avant toute(s) (@enavanttoutes)

    Cinq questions à la journaliste Chloé Thibaud, marraine de l’événement aux côtés des créatrices de contenu et militantes féministes Melissa Amneris et Zoé Espitallier.

    En tant que marraine de l’événement, qu’est-ce qu’un musée national du patriarcat vous évoque ? 
    Chloé Thibaud – Je suis honorée d’être marraine du Musée national du patriarcat pour la deuxième fois car c’est un projet que je trouve très inventif et intelligent. L’idée que le patriarcat appartienne désormais au passé me fait évidemment rêver. J’espère qu’un jour prochain la réalité rejoindra cette fiction inventée par En avant toutes, mais le chemin semble encore très long… D’où l’importance d’être toujours plus nombreuses et nombreux à se mobiliser !

    Quelle relique aimeriez-vous y voir exposée ? 
    CT – Le musée expose déjà un vase contenant des larmes de ouin-ouin, ma pièce préférée ! Moi j’aimerais qu’on y enferme des bocaux de crachats masculins. Cela fait partie des choses que j’observe presque quotidiennement et que je ne supporte pas : le fait que les hommes se sentent autorisés à cracher par terre, partout. Ça peut paraître anodin pour certaines personnes, mais selon moi ça traduit vraiment le non-respect des hommes pour les personnes qui les entourent, et surtout leur capacité à se sentir libres de faire tout ce qu’ils veulent sans être punis !

    Voir cette publication sur Instagram

    Une publication partagée par En avant toute(s) (@enavanttoutes)

    Une société libérée du patriarcat, ça se traduirait avant tout dans les relations amoureuses, avec la fin des violences conjugales (physiques, psychologiques, économiques…) ?
    CT – Malheureusement, les violences faites aux femmes et aux enfants ne diminuent pas. Une société égalitaire, libérée du sexisme et de tant d’autres discriminations – le racisme, l’homophobie, la transphobie, le classisme, le validisme – serait une société dans laquelle les relations amoureuses seraient plus saines.

    Cet événement est aussi l’occasion de mettre en avant les créatrices de contenu sur Internet. En tant que journaliste féministe, vous prenez régulièrement la parole sur les réseaux sociaux. Quelle est votre expérience ?
    CT – Être une femme sur internet, c’est d’emblée synonyme de risques : le risque d’être insultée, corrigée, sexualisée, menacée, harcelée… Être une femme, féministe, dont le métier est de prendre la parole sur les sujets d’égalité femmes-hommes, relève parfois du masochisme. Durant l’année qui vient de passer, j’ai subi plusieurs “bad buzz“, plusieurs périodes de harcèlement en ligne, et j’ai parfois eu du mal à faire face, à ne pas perdre ma motivation. Heureusement que mes consoeurs journalistes, autrices ou créatrices de contenus étaient là pour me donner de la force. Il est tellement important que nous continuions à occuper ces espaces… Nous ne devons pas laisser le champ libre aux masculinistes, aux racistes, aux fascistes. Alors, quand certaines d’entre nous fatiguent, il est bon de savoir qu’il y en a d’autres qui ont la capacité de prendre le relai.

    Quelle place la joie tient-elle dans la lutte féministe ?
    CT – Nous accorder des moments de joie, les cultiver, est indispensable à notre santé mentale et à notre survie. Le monde qui nous entoure ne nous facilite pas la tâche, c’est le moins qu’on puisse dire… Se sentir joyeuse peut même être une source de culpabilité quand on est témoin des atrocités, des guerres, des génocides qui ont actuellement lieu sur la planète. J’espère malgré tout que les visiteurs et visiteuses du Musée sauront sourire voire rire le temps de quelques heures !

    Pour s’inscrire, c’est ICI !

    À lire dans LesNouvellesNews.fr :

    RÉSEAUX SOCIAUX : LES ALGORITHMES INVISIBILISENT LES MESSAGES FÉMINISTES

    FÊTES DE L’ÉTÉ : COMMENT LES FEMMES PEUVENT EN PROFITER SEREINEMENT 

    CYBERHARCÈLEMENT SEXISTE : GRÂCE AU PROCÈS INTENTÉ PAR TYPHAINE D, ON NE RIGOLE PLUS !

    Mettre dans vos favoris (0)
    Please login to bookmark Close

    chloé Thibaudluttes féministesmusée national du patriarcat
    0 commentaires FacebookTwitterLinkedinThreadsBluesky

    Laisser un commentaire Annuler la réponse

    Conservez mes informations

    LE LIVRE


    En savoir plus

     

    NOS FORMATIONS

    ÉGALITÉ PROFESSIONNELLE, LEADERSHIP

    2 février et 22 mars

    Renseignements Speak-Up ici


    Autres formations
    ici

    Je fais un don

    • Facebook
    • Twitter
    • Instagram
    • Linkedin
    • Notre livre
    • Qui sommes-nous ?
    • Mentions légales
    • Se Connecter à votre compte

    © 2023 - Tous droits réservés. -


    Retour en haut

    Mot de passe oublié?

    Mot de passe perdu? Veuillez saisir votre adresse e-mail. Vous recevrez un e-mail avec un lien pour définir un nouveau mot de passe.

    Retour à la connexion

    Les Nouvelles News
    • Home
    Les Nouvelles News

    Panier

    Close

    Votre panier est vide.

    Close