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    CulturePortrait

    Aïda Asgharzadeh, raconteuse d’Histoire

    par vincimoz 9 juillet 2013
    Ecrit par vincimoz 9 juillet 2013
    313
    Aida1

    Photo © Béatrice Cruveiller

    Alice au pays des Merveilles, la déportation, une histoire à la Roméo et Juliette dans l’Algérie de 1988… Aïda Asgharzadeh fourmille de projets. Leur point commun : l’héritage.


     

    Difficile de l’attraper entre tous ses projets en cours. En ce début d’été Aïda Asgharzadeh travaille en tant qu’auteure et comédienne sur quatre pièces différentes : Le Peuple de la nuit qui sera à Avignon pour la deuxième fois cette année, Alice, ainsi que La main de Leïla qui a été créée en juin dernier et No man’s land (titre provisoire), toujours en cours d’écriture. « Je voudrais faire un peu plus d’écran, mais je n’ai pas trouvé le temps cette année ,avoue-t-elle. On comprend pourquoi.

    Beaucoup travailler, la jeune femme en a l’habitude. Après une première année d’économie gestion peu concluante, elle s’inscrit en école de théâtre en même temps qu’en double-licence de lettres modernes et cinéma audiovisuel. « Je crois que j’avais envie de faire du théâtre mais je n’osais pas le dire. Quand j’ai été au Sudden j’ai réalisé : ok, c’est ça que je veux faire. » Pour être indépendante, elle mène de front la fac, la formation théâtrale et un petit boulot. Puis après avoir terminé ses licences elle s’inscrit au Studio Théâtre, une deuxième école, dont elle fera la première année en même temps que sa quatrième et dernière année au Sudden Théâtre.

    Durant ses formations, Aïda apprend le théâtre classique mais aussi la caméra, le clown, un peu de danse et de chant… Elle rencontre surtout sa « famille théâtrale » au Sudden Théâtre : des personnes qui travaillent toujours avec elle comme Anaïs Laforêt, avec laquelle elle a monté Alice. Elle joue également avec Franck Berthier, metteur en scène, qui la poussera à écrire quelques années plus tard.

    Premières écritures

    « J’ai toujours écrit. Des critiques, des nouvelles, des courts-métrages… Franck Berthier savait que j’écrivais alors il m’a sollicité pour un appel à projets du Conseil Général de la Haute-Savoie. » C’est en 2011. Elle écrit Je trahirai demain, une pièce sur la Résistance sous le régime de Vichy. L’année suivante, leur collaboration engendrera Le Peuple de la nuit, l’histoire de trois femmes déportées se battant pour survivre et garder leur conscience. Pour cette pièce Aïda a fait beaucoup de recherches et rencontré des déportés, mais elle s’est également inspirée de son histoire familiale : « Mes parents ont fui l’Iran pour Paris il y a trente ans. La pièce ne parle pas du tout de l’Iran bien sûr, mais la résistance à l’oppression est une thématique universelle. »

    Cette histoire, elle lui a également inspirée La main de Leïla, écrite avec Kamel Isker. Une sorte de Roméo et Juliette dans l’Algérie de 1988. « On voulait une pièce sur les origines. Les textes existants étaient trop lourds, alors on a écrit le nôtre. Mais j’étais contente qu’on le situe dans le pays de Kamel, travailler sur l’Iran est encore trop fort émotionnellement. » L’auteure a visité plusieurs fois son pays d’origine, dans lequel elle n’est pas née, mais n’a pas pu y retourner depuis plusieurs années à cause du contexte politique.

    Le thème de l’héritage

    La jeune femme se dit obsédée par « le thème de l’héritage, qu’il soit social, politique ou historique ». Dans La main de Leïla comme dans Le Peuple de la nuit, elle a aimé mélanger la grande et la petite histoire. Ce sera également le cas de No Man’s land, qui mettra en scène un soldat beau et futile défiguré pendant la première guerre mondiale et retrouvant sa place dans la vie grâce à Cyrano de Bergerac.

    Mais Aïda ne situe pas toutes ses pièces dans des cadres historiques et sombres. L’un de ses plus vieux projets, Alice, qui porte enfin ses fruits, est une adaptation de l’œuvre de Lewis Caroll. « Nous avons mixé Alice au pays des Merveilles avec De l’autre côté du miroir. Dans notre histoire Alice est une allégorie de l’adolescente, donc j’ai fait des recherches sur l’adolescence, sur la vie et l’œuvre de Caroll… » Cette pièce était la première mise en scène d’Aïda Azgharzadeh, en collaboration avec Anaïs Laforêt. Elle a été finaliste du prix « Jeunes metteurs en scène 2013 » du Théâtre 13 à Paris.

    Pour l’avenir, la comédienne et auteure fourmille déjà de projets : des idées encore vagues de courts-métrages avec des amis mais aussi une série comique qu’elle a commencé à écrire – l’histoire d’une jeune fille très bourgeoise et féminine et de sa colocataire plus brute et débrouillarde ; à nouveau une affaire de recherche des origines. Il lui reste également beaucoup de travail sur No man’s land, dont la création est prévue pour l’automne 2014.

     

    Le Peuple de la nuit est jouée au Petit Louvre (Van Gogh) (23 rue Saint Agricol, 84000 Avignon) du 6 au 29 juillet, tous les jours à 17h30.

     

    asgarzadehavignonpeuple de la nuitthéâtre
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