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Deuxième entretien avec les Amis de la Terre. Cyrielle Den Hartigh expliquait ici la position de l'association contre les mécanismes de flexibilité et de marché du carbone. L'association insiste aussi pour que les transferts de compétences et le soutien financier aux pays en développement, dans la lutte contre le réchauffement climatique, soient contrôlés par l'ONU, et non par un organisme tel que la Banque mondiale. Une défiance renforcée par la « grande hypocrisie » dont font preuve les institutions financières internationales, qui « financent les changements climatiques » en soutenant les énergies fossiles.
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