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La nomination d'un président du Conseil européen, pour deux ans et demi, flanqué d'un « ministre des affaires étrangères » de l'Union. Deux postes censés donner plus de visibilité et de crédit international aux institutions européennes. Mais, alors que le traité de Lisbonne entrera en vigueur le 1er décembre, les tractations pour ces deux postes font apparaître beaucoup plus de confusion que de clarté. Tandis que les femmes passent à l'offensive pour se faire une place dans ce cénacle très masculin.
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