Lorsque Caroline Alazard lance en 2007 sa start-up Greenext, pour calculer le coût environnemental de la consommation, elle part d’une page blanche. Avec pour seul guide son intuition. Deux « Grenelle » après, l’entreprise participe aux négociations au sommet et vient d’effectuer une levée de fonds de deux millions d’euros.