Trois semaines après l’enlèvement au Nigéria de plus de 200 lycéennes par Boko Haram, les pressions pour les retrouver s’accentuent, dans le pays et au-delà. Rassemblement ce lundi soir à Paris.
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Trois semaines après l’enlèvement au Nigéria de plus de 200 lycéennes par Boko Haram, les pressions pour les retrouver s’accentuent, dans le pays et au-delà. Rassemblement ce lundi soir à Paris.
Accusé de pollution aux hydocarbures dans le delta du Niger, l’une des zones les plus polluées de la planète, le néerlandais Shell répond que plus de 90% des déversements sont dus à des actes de sabotage. Mensonge, estiment des ONG qui accusent la compagnie pétrolière de fuir ses responsabilités sociales et environnementales. L’affaire est suffisamment sérieuse pour être examinée par les parlementaires néerlandais.