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Hélène Pelosse n'avait a priori pas toutes les cartes en main pour devenir directrice de l'Institut international pour les énergies renouvelables (IRENA), fondé en 2009. Française, elle véhiculait l'image d'un pays acquis au nucléaire. Jeune, elle entrait en concurrence avec des experts à la longue carrière. Femme, elle n'était pas à l'abri des préjugés. Mais cette énarque a fait parler sa volonté, l'une des clefs de sa réussite.
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