Réaffirmant la « position abolitionniste » du parti socialiste, elle sait que « ce sera un chantier de long terme », et assure que le ministre de l’intérieur Manuel Valls et elle-même « ne resteront pas inactifs sur cette question. »
La question de l’abolition de la prostitution, visiblement évidente pour la ministre, est semée d’embûche. Les vives réactions au rapport parlementaire sur la prostitution en 2011 l’ont montré.