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C’est le jour de la fête de l’indépendance du Liban. Pourtant, ici, le titre est allégorique. La guerre, la méfiance, la peur rôdent dans ce désert et sur ce film. C’est la toile de fond, une ambiance de longs plans-séquences où plane en permanence, sur les trois femmes qui le parcourent, une menace d’origine inconnue, mais de mort ou de terreur, un peu comme cet avion qui plane au dessus de Cary Grant dans « La mort aux trousses », d’Alfred Hitchcock.
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