124
En salles en ce moment, deux premiers films français sont en tous points opposés : Mouton et Tristesse Club ont pourtant pour point commun leur tendresse mélancolique pour le genre humain. La critique ciné de Valérie Ganne
La suite de cet article est réservée à nos abonné·es.
➤ Pour soutenir le travail de la rédaction et permettre à ce journal d'exister
➤ Pour accéder à l'ensemble de nos articles (plus de 7500), archives et dossiers
Informez-vous, engagez-vous, ABONNEZ-VOUS !
♦ Déjà abonné.e ? Connectez-vous ♦