389
La justice a tranché : celles qui ont demandé à la mairie d'Auch l'annulation d'un concours de "mini-miss" et de ses affiches racoleuses ne peuvent être inquiétées. Une décision bienvenue en pleine polémique sur l'hypersexualisation des enfants
La suite de cet article est réservée à nos abonné·es.
➤ Pour soutenir le travail de la rédaction et permettre à ce journal d'exister
➤ Pour accéder à l'ensemble de nos articles (plus de 7500), archives et dossiers
Informez-vous, engagez-vous, ABONNEZ-VOUS !
♦ Déjà abonné.e ? Connectez-vous ♦