100
Dans une affaire de relation sadomasochiste imposé par un supérieur hiérarchique, la justice française avait cru voir un consentement éclairé de la subordonnée. La CEDH a condamné la France pour « victimisation secondaire » et dénoncé « les lacunes » du cadre juridique français relatif au consentement.
La suite de cet article est réservée à nos abonné·es.
➤ Pour soutenir le travail de la rédaction et permettre à ce journal d'exister
➤ Pour accéder à l'ensemble de nos articles (plus de 7500), archives et dossiers
Informez-vous, engagez-vous, ABONNEZ-VOUS !
♦ Déjà abonné.e ? Connectez-vous ♦