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Merci à Françoise Simpère pour son ode à la gloire des faibles, des ratés et des candidats aux suicides que nous pourrions tous devenir dans ce monde de brutes comme ils disent dans la pub pour le chocolat. Oui, chère Françoise, à partir du moment où une entreprise considère ceux qui y travaillent comme, au choix, « variables d’ajustement », « actifs » ou même « risques psychosociaux », au service de la seule performance, la mort rôde.
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