Evoquer le viol comme crime de guerre pose toujours problème en RDC. Le gouvernement interdit la diffusion du film « L’homme qui répare les femmes – La colère d’Hippocrate », portrait de Denis Mukwege.
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Société
« Pas de géant » contre les violences sexuelles de guerre en RDC
par Arnaud Bihelpar Arnaud BihelLes Forces armées de la République démocratique du Congo s’engagent pour une « tolérance zéro ».
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Le prix du Parlement européen pour la liberté de l’esprit récompense le gynécologue congolais Denis Mukwege, infatigable défenseur des femmes violées en RDC.
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La RDC, « pire endroit pour être mère », le malaise des mères italiennes, les journalistes tunisiennes agressées, le travail des femmes en recul en Inde, la longévité féminine expliquée… la revue de presse internationale d’Anne Collet.
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Le viol, crime de guerre et crime contre l’humanité. Cette qualification a conduit à la condamnation de militaires de haut rang en République Démocratique du Congo (RDC). Ce procès marque un tournant, se félicitent les observateurs. La Cour Pénale Internationale poursuit elle aussi des chefs de guerre pour des viols qualifiés de crimes contre l’humanité.
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Les sévices sexuels comme arme de guerre. Le phénomène connaît une ampleur dramatique en République Démocratique du Congo (RDC). Ces viols massifs, infligés par des groupes armés, sont un moyen de « déstabiliser l’organisation même de la société ». Effet de cette déstabilisation : les violences sexuelles se banalisent dans la société civile.