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    2024 : les femmes qui ont fait l’actualité 

    par Clara Authiat 24 décembre 2024
    Ecrit par Clara Authiat 24 décembre 2024
    2,K

    Libération de la parole, défense des minorités, dépassement du plafond de verre… Tour du monde non exhaustif de femmes inspirantes et combatives qui ont marqué l’année 2024.

    Les femmes qui ont fait l’actualité en 2024. De gauche à droite : Aya Nakamura, Madeleine Riffaud, Lucie Castets, Esther Duflo, Gisèle Pelicot et Ahou Daryaei.

    International 

    Ahou Daryaei 
    Femme Vie Liberté. Deux ans après le meurtre de la jeune iranienne Mahsa Amini par la police des mœurs pour avoir « mal » porté son voile, le mouvement de contestation ne faiblit pas. Le 2 novembre, Ahou Daryaei, étudiante à Téhéran, enlève ses vêtements après que cette même police des mœurs l’ait empêchée d’entrer dans son université en raison d’un voile jugé mal porté. Le geste de l’étudiante interpelle ceux qui la regardent, la juge, la condamne même : pourquoi son corps de femme dérange-t-il autant ? Arrêtée puis internée dans un hôpital psychiatrique, Ahou Daryaei est finalement libérée quelques jours plus tard. Alors que la république islamiste bafoue les libertés des femmes, les Iraniennes multiplient les actes de résistance et de bravoure.

    Lire : Ahou Daryaei ne sera pas poursuivie selon la justice iranienne

    Les femmes afghanes en résistance
    Depuis le retour des talibans au pouvoir en 2021, les droits des femmes dans le pays s’amenuisent jusqu’à totalement disparaître. Dernière interdiction en date : les femmes ne sont plus autorisées à chanter, à réciter de la poésie ou à lire à voix haute en public. Face à ce déni total de liberté, les Afghanes se mobilisent, notamment en ligne où elles bravent l’interdiction et chantent face caméra. Sur d’autres vidéos, on voit des groupes de militantes le poing levé, déchirant des photos Haibatullah Akhundzada, chef suprême des talibans, ou scandant : « La voix d’une femme, c’est la voix de la justice ». Elles interpellent aussi la communauté internationale à ne pas rester indifférente.

    Lire : Les Afghanes résistent mais la diplomatie féministe tarde à les aider

    ©GageSkidmore

    Kamala Harris
    Cela s’est joué à quelques centaines de milliers de voix. Le 5 novembre, Donald Trump est élu, pour la seconde fois, Président des États-Unis. Face à lui : Kamala Harris, candidate démocrate et Vice-Présidente de Joe Biden. Tout au long de sa campagne, la femme politique est la cible de dénigrements sexistes. Contre le candidate républicain, ouvertement anti-féministe et reconnu responsable d’agression sexuelle, la candidate portait l’espoir de voir les droits des femmes protégés alors que l’accès à l’avortement est plus en plus difficile et inégal dans le pays.

    Lire : Etats-Unis : Kamala Harris face au « gender vote »

    Économie 

    Esther Duflo
    Le plafond de verre se fissure de plus en plus. L’économiste Esther Duflo devient la première femme présidente de la Paris School of Economics. Ses travaux sur la lutte contre la pauvreté dans le monde l’avaient déjà amenée à être nommée Prix Nobel d’économie en 2019. Elle était alors la deuxième femme à obtenir ce Nobel de sciences économiques, 10 ans après Elinor Ostrom. 

    Lire Esther Duflo devient présidente de la Paris School of Economics

    Nadia Calviño
    Depuis sa création en 1958, la Banque européenne d’investissement n’avait jamais été présidée par une femme. Il aura fallu attendre le 1er janvier 2024 et la nomination de l’économiste Nadia Calviño. Une nomination enthousiasmante puisque cette dernière a mainte fois manifesté ses positions féministes. En 2022, alors qu’elle est vice-présidente du gouvernement espagnol et ministre de l’économie et de la transformation digitale, elle refuse de poser pour une photo où il n’y avait que des hommes. Elle avait ensuite déclaré qu’elle ne se rendrait plus à des débats où elle serait la seule femme présente. Nadia Calviño en a aussi profité pour lancer un message à l’attention des entreprises : celles qui souhaitent représenter l’Espagne doivent intégrer un agenda féministe dans leurs axes prioritaires.

    Lire : Nadia Calviño nommée présidente de la Banque Européenne d’Investissement

    Écologie

    Celeste Saulo
    Elle est la première femme à occuper ce poste. Docteure en sciences météorologiques, Celeste Saulo devient la présidente de l’Organisation Météorologique Mondiale. Un statut de pionnière qu’elle avait déjà embrassé puisque depuis 2019, puisqu’elle occupait le poste de vice-présidente au sein de l’organisation. Elle avait alors été à ce moment la première femme à occuper ce poste. Elle est aussi la première personne de tout le continent américain à présider l’OMM. Alors que le changement climatique représente une des plus grandes menaces actuelles et étant elle-même originaire du “Sud global”, Celeste Saulo a pleinement conscience de la nécessité de rendre prioritaires les besoins des plus vulnérables.
    Lire : Celeste Saulo prend la tête de l’Organisation Météorologique Mondiale

    Politique

    Lucie Castets
    Après l’annonce d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée Nationale en juin dernier, des élections législatives sont organisées. Le 7 juillet, après le second tour, le Nouveau Front Populaire, coalition des partis de gauche, arrive en tête. Alors que chaque parti politique soumet son candidat au poste de Premier Ministre, un nom émerge et unit le NFP : Lucie Castets. Si elle n’a aucun engagement dans quelque parti politique, elle se bat pour la réhabilitation des services publics, notamment avec le collectif « Nos services publics » qu’elle a co-fondé. Encore aucune femme n’a accédé à Matignon. Malgré les nombreux appels à saisir l’opportunité de briser cet ultime plafond de verre en politique, le Président se tourne, à deux reprises, vers des hommes. Le boy’s club demeure imperturbable. 
    Lire : Lucie Castets, la candidate Première Ministre que le président ignore

    Libération de la parole 

    Gisèle Pelicot
    Pour que la honte change de camp. Droguée puis violée par son mari et des dizaines d’hommes, Gisèle Pélicot fait le choix courageux de refuser le huis clos lors du procès de ses agresseurs. Comme un message envoyé au monde, pour que les victimes de violences sexuelles ne portent plus la responsabilité de ces crimes. Les médias du monde entier ont compris le caractère extraordinaire de ce procès : 51 accusés, dont Dominique Pelicot, de tous âges et toutes professions confondues, exposant la banalité glaçante des profils des agresseurs. Le courage de Gisèle Pelicot a été salué par les féministes du monde entier, mais pas seulement puisque des médias, comme le New York Times, l’ont nommée personnalité de l’année. Signe qu’une prise de conscience collective globale s’amorce. 
    Lire : Procès Pélicot : le silence des hommes politiques et la victimisation secondaire, garants de l’ordre social patriarcal

    Résistance

    Madeleine Riffaud
    Un siècle d’histoire, de combat et de résistance. Madeleine Riffaud est décédée le 6 novembre dernier après avoir eu 100 ans au mois d’août. Mais sa mémoire, elle, reste éternelle, notamment grâce au travail du scénariste Jean-David Morvan et du dessinateur Dominique Bertail. Ce duo a recueilli les mémoires détaillées de l’ancienne journaliste et résistante puis les a retranscrites dans une formidable série de bandes dessinées Madeleine résistante. Engagée dans la Résistance à 18 ans, elle est ensuite devenue journaliste et a même été correspondante de guerre au Vietnam et en Algérie. Elle a aussi dénoncé les défaillances du système hospitalier. Toute sa vie, Madeleine Riffaud a été attentive et vigilante à l’état du monde, ses inégalités, ses injustices et ses violences. 
    Lire : Un siècle de combats. Madeleine Riffaud, est décédée

    Sport

    Manizha Talash
    Alors qu’elle performe lors de l’épreuve de breaking des Jeux Olympiques à Paris, l’Afghane Manizha Talash arbore une cape marquée de l’inscription « Free Afghan Women ». Cela lui vaut la disqualification immédiate pour avoir enfreint l’injonction de neutralité politique imposée par la charte olympique. Pourtant, l’athlète ne regrette pas son geste. Alors que le monde entier avait les yeux braqués sur les JO, l’Afghane, membre de l’équipe olympique des réfugié·e·s, interpelle sur la situation alarmante des femmes en Afghanistan, qu’elle a elle-même fui lorsqu’elle avait 19 ans pour l’Espagne.

    Santé 

    Marine Martin
    Son combat est enfin reconnu. Le 9 septembre, le tribunal de Paris déclare le laboratoire Sanofi coupable de « défaut d’information » sur son médicament la Dépakine qui a causé des handicaps chez des milliers d’enfants. Depuis près de treize ans, Marine Martin dénonce la nocivité de ce médicament et l’indifférence du laboratoire. Ce médicament et ses conséquences, elle les connait bien. Marine Martin en a ingéré pendant des années, notamment pendant ses grossesses, afin d’apaiser son épilepsie, causant un handicap chez ses deux enfants. Mais la lanceuse d’alerte n’est pas la seule à avoir été impactée : l’Assurance-maladie et l’Agence nationale de sécurité du médicament estiment à 30.000 le nombre de victimes de la Dépakine en France. Marine Martin fait partie de ces héroïnes dessinant la perspective d’une médecine qui ne se ferait plus sur le dos des femmes et de leur santé.
    Lire : Nouvelle victoire judiciaire pour une lanceuse d’alerte : Marine Martin face à Sanofi

    Médias

    Lorraine de Foucher
    Chaque année, le Prix Albert Londres salue le travail d’un.e journaliste. Cette année, dans la catégorie presse écrite, c’est Lorraine de Foucher, journaliste pour Le Monde, qui a été récompensée, notamment pour ses reportages et ses enquêtes sur l’affaire des viols de Mazan, les femmes migrantes violées, les victimes de l’industrie du porno, les jeunes filles exploitées sexuellement à Perpignan ou encore les adolescents tueurs à gages. Un choix qui marque un changement profond dans la considération des violences sexistes et sexuelles par les médias. 
    Lire : Prix Albert Londres : Lorraine de Foucher récompensée pour ses enquêtes sur les violences sexistes

    © Stock

    Marie Portolano
    Le journalisme sportif, bastion du sexisme dans les médias ? Avec conviction et détermination, Marie Portolano lève le voile sur les coulisses de ce milieu dans lequel elle a évolué pendant dix ans dans son essai Je suis la femme du plateau (mars 2024). Son constat : après son documentaire choc Je ne suis pas une salope, je suis journaliste (2021), dans lequel dix-huit femmes témoignaient des violences sexistes et sexuelles qu’elles avaient subies dans leur profession, le milieu a peu évolué et reste très masculin et machiste. Et les quelques femmes qui parviennent à s’imposer se ressemblent au point d’être interchangeables : belle, souriante, mince, non racisée. En brisant l’omerta, Marie Portolano secoue le petit milieu du journalisme sportif et dessine de nouvelles perspectives pour ses consœurs.
    Lire : Sexisme dans le journalisme sportif : Marie Portolano ne rit plus

    Culture

    Han Kang
    Prix Nobel de littérature en 2024, l’écrivaine sud-coréenne Han Kang est la 18ème femme a recevoir la distinction. Artiste engagée, la romancière cultive une « prose poétique intense qui confronte les traumatismes historiques et expose la fragilité de la vie humaine », comme le salue le jury. Elle est par ailleurs la première femme asiatique à décrocher cette prestigieuse récompense et la deuxième lauréate de Corée du Sud à obtenir un prix Nobel après l’ancien président Kim Dae-jung, prix Nobel de la paix en 2000.
    Lire : La sud-coréenne Han Kang, 18ème femme Prix Nobel de littérature

    Judith Godrèche
    Depuis qu’elle a révélé les violences sexuelles qu’elle a subies dans son adolescence par le réalisateur Benoît Jacquot, de ses 14 à 20 ans, ou par Jacques Bouillon, l’actrice Judith Godrèche interpelle sur l’ampleur du fléau dans le cinéma. En 2024, elle se bat pour qu’une commission d’enquête sur les violences sexuelles dans le cinéma soit ouverte. Le but : amorcer une prise de conscience collective. L’actrice ne supporte plus le silence des « personnes de pouvoir » dans cette industrie et le dénonce dans son court-métrage « Moi aussi » sorti en mai. Un condensé puissant d’une sororité sans limite. 
    Lire : « Je parle mais je ne vous entends pas » : Judith Godrèche sur la scène des César

    Aya Nakamura
    Aya Nakamura fait partie des artistes français.e.s les plus écouté.e.s dans le monde. Elle a de nouveau brillé lors de sa participation à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques à Paris en juillet 2024. Mais des mois avant l’événement, l’idée qu’une artiste populaire racisée chante du Charles Aznavour a provoqué une vague d’insultes racistes contre la chanteuse. Qu’une femme noire représente la France dérange encore en 2024… Le metteur en scène Thomas Jolly a tout de suite défendu l’idée d’une cérémonie qui s’élève contre toute forme de discrimination : « La France, à travers une mosaïque de talents, célébrera la beauté et la richesse de sa diversité ».
    Lire : L’affaire Aya Nakamura aux JO illustre la fabrique de la haine

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