Compter, dans les richesses des nations, le travail domestique et familial, le travail bénévole réalisé majoritairement par les femmes et la charge mentale qui va avec. C’est l’objectif de cette journée mondiale… invisible
PIB
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Et si le travail de production de bien-être comptait enfin ? En Chine, un divorcé paie ce travail à son ex. D’autres voix demandent la reconnaissance de ce travail invisible partout dans le monde.
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Bien-être et richessesEco & Social
Plaidoyer pour une économie féministe
par Isabelle Germainpar Isabelle GermainQu’est-ce qu’une politique économique féministe ? Nous vous invitons à la réflexion avec Celia V. Harquail et Marion Chapsal de Mourgues.
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Après avoir tenu bon pendant 4 ans face aux normes européennes, l’Insee finit par inclure le trafic de stupéfiants dans le calcul du PIB. Mais il oublie toujours d’intégrer la valeur produite par le travail domestique.
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Bien-être et richesses
La loi sur les nouveaux indicateurs de richesse définitivement adoptée
par Arnaud Bihelpar Arnaud Bihel« L’enjeu de cette loi est que la réussite d’un gouvernement ne soit plus mesurée à l’aune de la croissance du PIB, mais de nos véritables objectifs : l’emploi, la qualité de vie, le revenu réel de nos concitoyens, la préservation de notre environnement », résume son auteure Eva Sas.
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Bien-être et richesses
Prostitution et drogue pour doper un PIB très mâle
par Isabelle Germainpar Isabelle GermainLa Commission Européenne pousse les Etats membres à faire entrer certaines activités illicites dans le calcul du PIB. Mais la production de bien-être, le travail domestique restent toujours dans les oubliettes des statistiques.
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Bien-être et richessesFamilles
Travail domestique, un tiers fantôme du PIB
par Arnaud Bihelpar Arnaud BihelLa valeur que l’on pourrait accorder au travail domestique représente, dans son acception moyenne, un tiers du PIB. Une donnée à prendre en compte dans la mesure de la richesse, souligne l’INSEE.
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Bien-être et richessesEco & Social
Le sexe de l’économie, retour sur le colloque
par La rédactionpar La rédactionValoriser la production de bien-être, c’est rééquilibrer la place des femmes et des hommes dans l’économie. Possible, ont dit les intervenant-e-s lors de notre colloque du 29 mars. Manque la volonté politique.
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Sans catégorie
Travail non-marchand et inégalités de genre : les calculs de l’OCDE
par Arnaud Bihelpar Arnaud Bihel« Cuisine, soin, bénévolat : le travail non rémunéré dans le monde ». Une étude de l’OCDE, publiée jeudi 3 mars, vient fournir un nouvel éclairage sur les inégalités de genre dans le partage des tâches domestiques. Et appelle à prendre en compte les activités non-marchandes dans la mesure de la richesse et du bien-être : leur valeur correspondrait à un tiers du PIB.
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Qu’est-ce qu’on attend pour adopter de nouveaux indicateurs de richesse en France ? Le bonheur n’est pas dans le PIB (produit intérieur brut). Mais c’est après lui que court la politique. Et si on changeait ces indicateurs pour mieux orienter les politiques publiques ?
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Prêts pour adopter de nouveaux indicateurs de richesse ? Manifestement oui. « Pour vous qu’est-ce que la richesse ? » Lorsqu’on pose cette question basique à un échantillon de Français, la plupart d’entre eux ne parlent pas d’argent.
L’enjeu : aujourd’hui notre seul indicateur de richesse est le PIB qui mesure la consommation de biens et services marchands. Mais il est insuffisant et souvent contre productif.